ROUTE VERS L'AZUR

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il y a 6 ans

Pitch : Suite à une maladresse, Matt rencontre une fille curieusement langée sur l’autoroute. Ils sympathisent, puis leurs routes se séparent. Peut être leurs chemins se recroiseront-ils ?


Note de l’auteur : Voici ma première nouvelle ABDL ! Le début est inspiré d’un souvenir, que j’ai romancé. J’espère que cela vous plaira. Si vous voulez reposter cette histoire, demandez-moi avant s'il vous plaît :) - Fauvis


CHAPITRE 1 – Rencontre fortuite

Après avoir conduit durant de longues heures, je décidais de faire une pause sur une aire d’autoroute. Nice n’était plus très loin.

A 22 ans, j’avais déjà mon permis depuis longtemps, mais c’était mon premier trajet long-courrier. Je quittais la Bretagne pour le soleil de Nice afin de passer courtes vacances chez des amis.

Je roule au pas jusqu’à la zone de parking et me gare. Puis, je descends me dégourdir les jambes et me rafraîchir.

L’aire est calme, je prends place à une table. Derrière mes lunettes de soleil, j’observe les personnes autour de moi.

Une famille en tenue de plage. Un homme pressé, suant dans son costume. Une femme d’age mûr avec un bébé, accompagnée d’une jeune fille. Une adorable brune, à la silhouette gracieuse. Elle a probablement mon age. Tiens, elle est complètement rouge pivoine. Mon attention se fixe sur elle. J’écoute.

  • La salle de change est libre et propre, tu peux y aller – dit la mère en lui tendant une couche et des lingettes.

Elle allait probablement aider à changer le bébé. Cependant, je la vois rougir de plus belle. Elle se dirige seule vers la boutique, le change à la main, en laissant la femme et l’enfant à côté de leur voiture.

Intriguant. Mais je n’y pense pas davantage, j’ai certainement mal compris leur conversation. Je décide d’aller moi aussi d’entrer dans la station pour me laver les mains et acheter de quoi grignoter.


A l’intérieur de la boutique, je me dirige vers les lavabos, la tête dans les nuages. Je pense aux vacances qui s’annoncent, aux amis que je vais retrouver. Je pousse machinalement l’une des portes, sans penser à regarder l’affichette.

Soudainement, je me retrouve nez à nez avec la demoiselle brune de tout à l’heure. Elle est assise sur la table à langer, le pantalon baissé… en train d’attacher une couche-culotte de bébé sur ses hanches.

Elle étouffe un petit cri de surprise. Je me fige quelques secondes, stupéfié. Puis je me ressaisis, me confonds en excuses et referme la porte.

Je regagne l’extérieur en vitesse. J’entends mon sang battre dans mes tempes. Pourtant j’ai l’habitude : je suis connu dans mon école pour être un gaffeur de première. Cela dit, c’est la première fois qu’il m’arrive une chose pareille. Je prends quelques minutes pour reprendre mes esprits.

La jeune brune sort également du magasin. Elle semble confuse. Sa démarche est inhabituelle. Elle me remarque et rougit de plus belle. Avant qu’elle ne s’évanouisse, je prends l’initiative de lui dire :

  • Écoute, je suis vraiment désolé. Je ne faisais pas attention ou j’allais. Je suis vraiment tête en l’air. Est-ce que tout va bien ?

Elle baisse le regard, probablement pour ne pas croiser le mien.

  • Je … Oui, tout va bien – dit-elle en joignant les mains dans son dos. C’est ma faute … j’ai oublié de fermer le loquet.

  • Si cela peut te rassurer, je n’ai rien vu et je n’en parlerai à personne. Enfin, on ne se connaît pas, cela ne doit pas beaucoup te réconforter…

  • Hihi, vous les garçons, vous êtes toujours si bêtes – je vois un éclair de malice dans son regard.

  • Hmm. Je crois que je ne peux pas te donner tord cette fois ci. Cette histoire m’ennuie beaucoup. Est-ce que peux t’offrir un café, quelque chose à boire pour me faire pardonner ?

  • Surtout pas !! Heu…. Excuse moi. Hmmm. Un muffin me ferait plaisir, si cela te va ! – dit elle en montrant ses fossettes.

  • Avec plaisir. Je préfère te voir sourire en parlant de muffins.

  • Hey, je ne souris pas !

A la boulangerie de la boutique, nous commandons donc un café et deux muffins. Elle me propose de nous installer à une table, ce que j’accepte. Elle esquisse un petit sourire crispé lorsqu’elle s’assied sur la banquette rugueuse.

  • Cela ne va pas faire attendre ta mère dehors ? Je vous ai vu en arrivant.

  • Ma mère ? Ah, tu veux dire Mme Louise ? Ce n’est pas ma mère, c’est la dame qui m’a prise en covoiturage. Ne t’en fais pas, elle a décidé de faire une grande pause ici, pour s’occuper de son bébé.

  • Oh, d’accord.

  • Je viens de Nantes. Comme je n’ai pas le permis, le covoiturage était une bonne option - explique-t-elle en en grignotant sa viennoiserie.

  • Ah, tu arrives de Bretagne. Moi aussi, je viens de Rennes. Je suis là pour une semaine de soleil. Au fait, moi c’est Matt.

  • Sophie - dit-elle en souriant.

  • Encore navré pour tout à l’heure.

  • Hmm…. Ce n’est pas dramatique, ne t’en fais pas…

Je la vois faire la moue et se trémousser sur son siège. Piqué par la curiosité, je tente :

  • Je peux te demander…. Tu la portes encore ?

  • ………………. Oui – confie-t-elle en détournant le regard.

  • Comment ça se fait ? Tu as perdu un paris ?

  • En fait….. je n’ai pas osé demander qu’on fasse trop d’arrêt-pipis…. Et j’ai failli avoir un accident sur le siège de la voiture. Mme Louise a commencé à s’énerver, elle exigé que j’enfile une des pampers de son bébé pour terminer le voyage.

Sophie, qui avait finit son muffin, commençait à bouder. Je restais silencieux.

  • Elle a dit pour se moquer que j’étais pire que son enfant. Et qu’elle vérifierais si ma couche est sèche à l’arrivée…..

  • Ne t’en fais, ce sont des choses qui arrivent. Plus de peur que mal au final – dis-je en souriant. Et puis vois le bon côté des choses, plus besoin de lui demander de t’arrêter maintenant !

  • Hihi, oui c’est vrai !

Elle se laisser aller à rire un peu. Je trouve son rire me fait chaud au cœur.

  • Je trouve que tu as vraiment du charme, quand tu passes de boudeuse à souriante. Dommage que tu sois encore un bébé en couches culottes.

  • Hey ! C’est pas g-

  • Au passage, tu peux prendre mon muffin si tu en as envie. Je te vois l’épier comme un chat depuis tout à l’heure.

  • ….. Grrmmm, merci. – elle se sert.

  • Au fait, est-ce que la couche est confortable à porter, p’tit chat ?

  • Matt !!


Quelques minutes plus tard, nous ressortons en direction de nos voitures respectives. Je lui souhaite de faire bonne route et de bien s’amuser à Nice.

Je la regarde s’en aller, la démarche gênée par l’épaisseur entre ses jambes. Hormis ce détail, je lui trouve vraiment un charme fou. J’aime voir ses cheveux longs se balancer dans son dos.

Au loin, sa conductrice lui demande l’air sévère :

  • Est-ce que tu es prête à partir ?

  • Oui Mme Louise !

  • Bien. Tu es langée comme prévu ?

  • Heu…. Oui – elle monte dans la voiture en rougissant.

Je vois leur véhicule quitter l’aire de stationnement. Sophie me fait un petit geste d’au-revoir derrière sa vitre. Je la salue également, en la regardant s’éloigner.

Puis, je me retourne vers la boutique et je replonge dans mes pensées.


CHAPITRE 2 – Retrouvailles

Je suis à Nice depuis cinq jours, et je n’ai pas eu le temps d’ennuyer. Je fais du tourisme le jour et la fête avec mes amis le soir. D’habitude, je n’aime pas trop faire la tournée des bars, mais j’ai envie de profiter de mes amis niçois que je ne vois pas souvent.

Je repense de temps en temps à Sophie, de manière amusée. Je me demandais comment s’est terminé son voyage. Et puis ce sourire pétillant….


Le nuit est en train de tomber sur le port. J’entre avec quelques amis dans un bar réputé pour sa terrasse pour le toit. Cela tombe bien, avec cette chaleur, l’air du ciel nous fera du bien, à moi et ma chemise.

Je m’installe au bar pour commander, et c’est à cet instant que je sens une main me taper doucement sur l’épaule.

  • Bouh ! Cette fois c’est moi qui te tombe dessus !

Je me retourne, interloqué. En dehors de ma bande, je ne connais personne dans cette ville. C’est à ce moment que je reconnais Sophie. Elle est en robe de cocktail sobre, mais élégante, et tient un verre de vin blanc à la main.

  • Oh, Sophie ! Ça alors !

  • Content de me revoir ?

  • Ça dépend, tu es venue pour me piquer les olives dans mon verre ? – dis-je en plaisantant. Non, sérieusement, cela me fait plaisir, oui !

  • Est-ce que tu aimes la ville ?

  • Oui, je m’amuse bien ici. Même si d’où je viens on a pas l’habitude de cette chaleur le soir. Heureusement qu’il y a cette terrasse.

  • C’est chouette hein ? J’ai de la chance, c’est juste à côté de mon appartement !

Nous commençons à discuter de nos vies respectives, un peu à l’écart sur la terrasse. Je fais signe à mes amis qu’ils peuvent continuer leur tournée des bars sans moi pour ce soir.


  • C’est pour ça que je préfère le Martini au shaker.

  • Oh, comme James Bond ? Au fait, Matt ?

  • Oui ?

  • Est-ce que tu voudras tes olives ?

  • Vas-y, haha.

Je regarde l’heure à ma montre. Cela fait déjà plusieurs heures que nous discutons, nous n’avons pas vu l’heure passer. Je remarque que Sophie se trémousse sur son siège, l’air préoccupée.

  • Tout va bien ?

  • Heu…… Oui oui. J’ai juste envie d’aller aux ….

  • Tu peux y aller, je ne vais pas me sauver.

  • C’est que…. J’ai un soucis….

  • Ah ?

Elle me prends par le bras et m’emmène dans un recoin discret de la terrasse. Là, elle soulève prudemment le bas de sa jupe.

  • Mais qu’est-ce que tu fais ?

  • Shhh ! Regarde !

Je remarque sa petite culotte, à rubans et motifs à pois, ce qui fait un peu enfantin. Mais ce n’est pas cela qu’elle souhaitait me montrer. D’un geste du pouce, elle descend son sous-vêtements, pour laisser apparaître …. Une couche de bébé !

  • Sophie ? Qu’est-ce qu-

  • Pas si fort !

  • Oups, désolé. Je dois avouer que je suis un peu surpris.

  • Hihi – pouffe-t-elle en laissant tomber sa jupe.

  • Mais…. Je ne savais pas que tu en avais besoin tout le temps !

  • Idiot, c’est pas ça.

  • Ah bon ?

  • Je t’expliquerais. – dit-elle en faisant la moue. Mais il faut vraiment que j’aille aux toilettes maintenant.

  • Je ne comprends pas…. Tu peux l’enlever, non ? Ou sinon, tu n’as qu’à t’en servir. C’est fait pour ça après tout.

  • Matt ? Je…. En fait elle …. Elle est déjà mouillée… Oh, tu dois me trouver stupide….

Elle rougit et détourne le regard, l’air troublée. Son air innocent me donne envie de la protéger. Je la prends dans mes bras, et caresse son dos.

  • Mais non, ne t’inquiètes pas. Ça arrive. Et puis, ce sont les garçons qui sont stupides, pas vrai ?

  • Grrmmm, voui – marmonne-elle la tête enfoncée dans mon torse.

  • Est-ce que ça va mieux ?

  • Oui, merci. Il faut que j’aille me changer…. Mais je ne peux pas le faire ici… Tu veux bien m’accompagner ? L’appartement que l’on m’a prêté est juste à deux rues d’ici.

  • C’est d’accord. Je te suis.


Nous voilà dans les rues pavées de Nice, éclairées par d’anciens lampadaires. La ville est encore animée, cependant le quartier se fait de plus en plus calme au fur et à mesure que nous avançons.

Sophie prends ma main pour marcher. Je trouve cela mignon. Cependant elle marche avec difficulté, et se tortille. Elle a un peu bu, cependant je devine la vraie raison à cela. La pampers qu’elle porte a commencé à devenir lourde et incommodante pour marcher.

Nous arrivons dans un immeuble en vieilles pierres. Une fois à l’étage, Sophie allume dans le salon une lumière tamisée. Je découvre un appartement spacieux, qui dégage un certain chic.

  • C’est vraiment très élégant ici – dis-je en retirant mes chaussures.

  • C’est l’appartement de ma demi-sœur. Elle vit à Nice, mais elle est en voyage avec son mari en ce moment.

  • Je vois.

  • Attends-moi ici.

Sophie s’éclipse dans la chambre. Je décide de ne pas l’écouter et de jeter un œil à la porte entrouverte. Je la vois enlever sa culotte. Puis sa robe, avec quelque difficulté.

Sa silhouette au clair de lune est vraiment magnifique, malgré que je ne la vois presque que de dos. Et malgré la couche bien remplie qui camoufle ses fesses.

Je décide d’entrer à pas de loup. Je la prends dans mes bras, alors qu’elle a toujours le dos tourné.

Elle a un léger sursaut. Cependant elle se laisser bercer par mon étreinte. Je la sens se laisser aller un peu. J’ai envie de la protéger.

  • Dis Sophie, je voulais que tu saches : j’ai passé une merveilleuse soirée avec toi.

  • Hihi, moi aussi. Dis Matt ?

  • Oui ?

  • Est-ce que tu veux bien … me… remettre une couche ?

  • Hmm, tu es sûre ?

  • Voui… Comme j’ai un peu bu ce soir, j’ai peur d’avoir un accident et de salir le lit…. Et je suis trop fatiguée pour la mettre toute seule…

J’hésite un instant.

  • Hmmmm, c’est d’accord. Je vais te changer.

  • Vouiii ! Merci Matt.

Elle m’embrase dans le cou. D’un geste, je la dépose sur le grand lit. Dans la pénombre, je cherche le matériel de change. Sophie me désigne du doigt une petite salle de bain mitoyenne.

J’y trouve un grand sac de sport et je commence à chercher. A tâtons, je devine un petit paquet de couches pour e n f a n t s – à priori à peine entamé. Je rassemble un change-complet propre, des lingettes et un petit tube de crème.

Lorsque je me retourne, Sophie est sur le lit et me regarde la tête à l’envers, en suçant son pouce. Elle a du mal à garder les yeux ouverts.

  • Oh, ma puce, on est fatiguée, hein ?

  • … voui.

Amusé par le ton qu’elle adopte, je décide de poursuivre.

  • Ne t’en fais pas bébé, on va changer la couche et après on va au dodo.

Même dans la pénombre, j’aurais juré l’avoir vu rougir. Mais elle ne répondit pas.

Je m’approche de ses hanches, et je dégrafe les deux attaches de la couche. Je suis un peu décontenancé, ayant plus l’habitude de dégrafer des brassières.

Puis je soulève ses jambes, et je roule la couche sale en boule sous ses fesses. Je suis étonné par la chaleur et l’épaisseur de l’objet, je ne pensais pas qu’elles puissent être aussi absorbantes. J’ajoute :

  • Et bien, Sophie, il était temps de rentrer pour te changer. Un verre de plus et c’était la catastrophe.

  • … Matt !

  • C’est rien, c’est normal quand on est un bébé. Remets ton pouce dans ta bouche, chaton.

  • Mmmh, ‘pas juste.

Je saisis une lingette et je commence à nettoyer son entrejambe. Sophie pousse de petits gémissements, mais je poursuis avec une deuxième, puis une troisième.

Puis, je déplie la couche propre. Il s’agit d’une pampers baby-dry de taille 6, ce que je devine grâce à la lumière de la rue. Sur le lange dansent tout un tas de petits dessins mignons comme des oursons colorés et des petits soleils.

  • Allez, soulève tes petites fesses. On va mettre la couche maintenant.

Sophie bougonne, puis s’exécute. Je dépose la couche sous son bassin. Elle se laisse tomber dessus, exténuée.

  • C’est bientôt fini chaton. Après tu pourras dormir.

  • Hmmmm, d’accord.

Je verse un peu de crème sur mes doigts, que j’étale délicatement sur son bassin. Sophie pousse de petits cris de plaisir, ce qui m’amuse. Enfin, je replie la couche.

Je suis étonné qu’elles aillent encore à une grande fille comme Sophie – qui a d’ailleurs un physique plutôt sportif. Cependant je comprends vite la raison : les attaches sur le côté sont très extensibles. Je prends mon temps pour les refermer et les fixer convenablement.

  • Tout va bien maintenant – chuchotais-je en la prenant dans mes bras. On fait un gros dodo maintenant ?

  • Oui – avoue-t-elle en sortant le pouce de sa bouche. Mais que si tu restes avec moi.

  • C’est d’accord. Ne bouge pas, j’arrive.

Je l’installe confortablement au niveau des oreillers. J’en profite pour déposer un baiser son front.

Ayant la gorge sèche, je fais un rapide tour dans la cuisine. J’en reviens avec deux grands verres d’eau glacée. Je tends l’un des verres à Sophie.

  • Tiens, ça va te désaltérer.

Elle l’attrape et le boit doucement. Je fais de même et je dépose nos verres sur la table de chevet. Puis, je me laisse tomber à ses côtés, épuisé par cette longue soirée. Je murmure :

  • Bonne nuit, Sophie....

A suivre

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